Ce jour-là, il faisait extrêmement froid. Dans cette atmosphère glaciale résonna des cris stridents, qui se fient entendre à une vingtaine de mètres à la ronde. Ce bruit venait de la maison de dame Assiba, jeune ménagère de la trentaine. Elle vivait dans son petit hameau avec ses deux enfants, l’aînée Djaké âgée de quatorze ans, le cadet Codjo la douzaine d’âge svelte au teint pâle le blanc de l’œil tirant vers le jaune par endroit, et son mari cultivateur. Mais qu’était-ce ?
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